Contrairement aux idées reçues, ce ne sont pas les élus mais les syndicats agricoles qui sont jugés les plus proches des problématiques rurales - aménagement du territoire, maintien des services publics, etc.- totalisant 58% de «oui» (dont 14% de «tout à fait»), suivis par les élus locaux (45% de «oui»), là où les gouvernements ne récoltent que 17% de «oui». Ce sont les conclusions tirées du baromètre Ifop de mars 2013 réalisé pour la FNSEA sur les problématiques rurales. Résultat similaire pour le deuxième sondage concernant les acteurs les plus à même de défendre la ruralité, pour lequel les syndicats agricoles obtiennent 44%, contre 33% pour les élus locaux, 16% pour les associations locales et 6% pour le gouvernement. Enfin, le baromètre met en avant les domaines prioritaires quant à l’attractivité des territoires ruraux : l’emploi et le commerce de proximité sont en tête (respectivement 29 et 26%), alors que la culture ou le logement sont peu sollicités (4 et 3%). Les domaines intermédiaires sont la santé (12%), l’éducation (11%), les nouvelles technologies (8%) et les transports (6%). |
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