Les charcutiers soutiennent l'abandon de la castration à vif
Les entreprises de charcuterie-traiteur défendent une prise en charge des surcoûts par les consommateurs et appellent à une concertation sur l'évolution de la production en 2022.
Lors de la présentation de son rapport d'activités le 7 octobre dernier, la Fédération des entreprises françaises de charcuterie-traiteur (Fict) a indiqué vouloir accompagner les éleveurs et la filière porcine dans l'arrêt de la castration à vif des porcelets qui entrera en vigueur en janvier 2022. Les entreprises du secteur souhaitent «que le coût de la castration sous anesthésie ne soit pas supporté par l'éleveur» et qu'il soit «pris en charge par le [...]