Approvisionnements d’intrants : collaboration entre l’UE et les États-Unis
Dans un communiqué de presse du 22 juillet, la Commission européenne a annoncé «intensifier ses travaux sur la résilience de la chaîne d’approvisionnement mondiale en collaboration avec les États-Unis» ainsi que 16 autres partenaires mondiaux (sic) dont l’Australie, le Brésil le Canada, la Corée du Sud, l’Inde et le Japon. L’objectif de cette collaboration repose sur trois points : tout d’abord améliorer «la transparence et le partage d’informations entre les partenaires afin de mieux anticiper les goulets d’étranglement dans la chaîne d’approvisionnement» ; ensuite «diversifier et accroître les capacités mondiales en matière de matériaux et d’intrants» et enfin «remédier aux vulnérabilités et mieux gérer les risques pour la sécurité des chaînes d’approvisionnement, ainsi que promouvoir des pratiques équitables et durables tout au long de ces dernières». Cette collaboration fait suite au forum ministériel sur la résilience de la chaîne d’approvisionnement mondiale organisée par les États-Unis les 19 et 20 juillet. En réalité, les autres partenaires des États-Unis ne sont que douze car selon le gouvernement étasunien, ni la France, ni l’Allemagne, ni les Pays-Bas et encore moins l’Italie et l’Espagne ne font partie de l’Union européenne : https://www.state.gov/supply-chain-ministerial-joint-statement/
Les opinions emises par les internautes n'engagent que leurs auteurs. L'Agriculteur de l'Aisne se reserve le droit de suspendre ou d'interrompre la diffusion de tout commentaire dont le contenu serait susceptible de porter atteinte aux tiers ou d'enfreindre les lois et reglements en vigueur, et decline toute responsabilite quant aux opinions emises,